SOUSCRIPTION 1
Le Cas Lambert (Curiosités n°2) est en pré-commande

Le Lampadaire s’apprête à publier sa seconde Curiosité, Le Cas Lambert, une réédition du Louis Lambert de Balzac augmenté d’un riche dossier (textes et images) traitant des relations entre la littérature et la médecine (La lecture médicale ; Contre la lecture médicale, l’idée et le cadre), l’art et la médecine (L’image médicale, signes et dispositifs ; L’image médicale en question, la souffrance du malade). On y trouve aussi quatre études sur le texte de Balzac (Mélancolie-et-science ; L’illusion documentaire ; Poétique électrique ; Louis Lambert est une pure idée).

Contributions : Sylvie Catellin, Julie Cheminaud, Hubert Lambert, Sophie Saulnier, Thierry Bodin|retourligne|
Conception graphique : bureau DGC|retourligne|
Parution prévue au second trimestre 2020|retourligne|

Présentation du Cas Lambert
Publié dans la collection des Curiosités, Le Cas Lambert est un travail sur le document et sur l’archive. Le corpus est constitué d’une matière textuelle et fictionnelle (Louis Lambert, Balzac), d’une matière iconographique documentant le réel (dessins et photos puisés dans les traités médicaux du XIXe siècle), d’une matière scientifique (écrits des aliénistes justifiant leurs écrits). Le fil conducteur est l’aliénation mentale dont un des traits majeurs est la confusion entre fiction et réalité.

● la matière Louis Lambert
Le Louis Lambert de Balzac se présente comme une composition d’éléments formellement hétérogènes
. un récit à la première personne pris en charge par le narrateur Balzac,
. des aphorismes philosophiques (mis en italiques) rédigés par le héros Louis Lambert,
. des lettres écrites par ce même héros qui font office de documents témoignant de la réalité des événements narrés et preuve de la folie du héros,
. des illustrations (suivant les éditions)
éléments dont la conjointure interroge en même temps le rapport
entre fiction et réalité
. si le « je » qui prend en charge le récit est bien Balzac, Louis Lambert, dont il raconte l’histoire, lui ressemble étrangement
entre normalité, génie, et folie.
. le héros, génie précoce, meurt à l’âge de 27 ans atteint d’une maladie mentale qui le plonge dans un état catatonique.

Le débat fiction/réalité est sorti du champ littéraire par trois aliénistes du XIXe siècle et quatre psychiatres du début du XXe siècle qui reprennent deux épisodes centraux du texte de Balzac et les réinterprètent selon les besoins de leurs démonstrations. Les quatre psychiatres soutiennent que Balzac fait, en 1832, une parfaite description clinique d’un cas de schizophrénie, alors que la maladie elle-même ne sera décrite et identifiée qu’en 1911. La fiction, lue comme un document expliquant le réel de la folie, fonde la naissance d’une nouvelle catégorie dans la nosologie psychiatrique : la schizophrénie. L’histoire de Louis Lambert devient archive première et mythe fondateur.

Un mythe dont les figures principales sont mises en images par différents illustrateurs. Le dessin le plus connu, et sans doute le plus impressionnant, est l’œuvre de l’illustrateur Bertall : portrait du héros à la fin de sa vie dans la posture figée (catatonie) que décrit Balzac.
Puisque les psychiatres prétendent que la fiction balzacienne touche plus à la vérité que ne le font les diagnostics des aliénistes de son époque, alors il nous a semblé nécessaire de nous demander si le dessin réalisé à partir d’un texte de fiction touche plus à la vérité de la folie que les portraits des aliénés faits d’après nature à la demande de certains médecins aliénistes comme Esquirol et Morel.

● l’archive médicale iconographique
Les aliénistes du XIXe siècle, Esquirol et Morel, utilisent l’image (dessin) dans un but scientifique : établir une typologie des maladies mentales fondée sur l’analyse et la monstration de caractéristiques physiques dites signifiantes. Entrant en compétition ou en complémentarité avec l’observation clinique écrite (lire l’image/voir le texte), les images-preuves sont prises dans un réseau d’intentions : taxinomie, didactique, folle tentative d’épuiser le réel de la folie, d’en pister les signes (si ce n’est de la guérir), renforcement de l’autorité scientifique du commanditaire tout en faisant montre de son humanité : la cruelle exposition des folles de la Salpêtrière qui se tenait le dimanche, est remplacée par un atlas imagé. Le passage du dessin à la photographie (Iconographie photographique de la Salpêtrière, albums de Dagonet) amplifie la fonction documentaire, la photographie est plus fiable, plus vraie que le dessin. Indices de la réalité, les photos ne sont cependant pas exemptes du soupçon de mise en scène car, à la différence du dessin, la lourdeur technologique de la photographie à ses débuts implique la pose et, contrairement aux photos de tumeurs, de déformations etc., elles procèdent souvent d’une mise en scène.


« Penser c’est voir », affirme le héros de Balzac pour qui les représentations mentales ont la force de la sensation physique et dont les mots forment des phrases images.
Penser par images oui, mais comment donner à voir l’image de cette pensée ? Si la photogénie de l’hystérie ou de la catatonie réside dans ses manifestations physiques, contractures du corps ou gestes immobilisés, comment capter l’image de la folie ou simplement de ce qui se passe dans le cerveau de tout individu ?
Certains (J. Luys), méthodiquement, coupent le cerveau humain en tranches qu’ils photographient de manière systématique. D’autres (Duchenne de Boulogne) branchent des rhéophores sur le visage de leurs modèles pour identifier le lieu physique de l’expression des passions et photographient le dispositif de l’expérience et son résultat qu’ils commentent dans le détail.


Nota Bene
Pour mener à bien cet ouvrage nous avons récolté un grand nombre d’images d’archives, mais leur qualité est insuffisante pour l’impression. Elles nécessitent un traitement particulier dont le coût est important. Pour nous permettre de passer rapidement cette étape et de finaliser le projet d’édition, nous avons besoin de votre aide.


Précommandez Le cas Lambert
Prix : 48,00 €
Format : 20,3 x 26,2cm. 320 pages
Parution prévue au second trimestre 2020.

Si vous n’avez pas encore lu Le Feuilleton d’Hubert Lambert (Nouveauté n°2 associée à sa Curiosité Le cas Lambert) vous pouvez aussi nous le commander (11,00€), nous vous l’enverrons sans attendre.
Paiement par chèque à l’ordre des éditions Le Lampadaire.
Adresse postale: 7 villa des Vosges 92270 Bois-Colombes
ou par carte paypal sur le site des éditions papier le-lampadaire.org
Pour nous contacter par mail : e.lampadaire@yahoo.fr

Que ce soit par courrier postal ou par mail, précisez bien le nombre de titres que vous commandez et n’oubliez pas de nous indiquer votre adresse.
NEWS LETTER 22
octobre 2019
UN PEU DE SCIENCES NATURELLES NE NUIT PAS AU LAMPADAIRE

De l’embourgeoisement des plantes en pots, à l’érotisme du cerisier, en passant par l’invasion et la destruction, Le Lampadaire vous offre un panorama de l’âme des plantes. De l’âme ou de l’intelligence ?

Vous apprendrez tout des plantes explosives, Autochorie, de Maria Rantin
sans néanmoins savoir leur nom
tout du rempotage, Le problème avec l’intelligence des plantes, Christophe Esnault
tout du cerisier, Devant un cerisier, depuis une chambre, Galaad Monneray
tout des prédateurs, Cétoines dorées et poux du pommier, Maria Rantin et Joseph Pasdeloup
mais sans rien savoir de leur nom
sans rien savoir du potage
sans rien savoir de la chambre
et c’est tout l’art de la Nescience, lisez Segalen
art que nos auteurs,
nous espérons qu’ils ne nous en voudront pas de le dire,
ont en partage.

Et puis quelques larmes pour compléter la rubrique Larmes/gourous
Lacrimosa
Anna Maddelena Nasturzia
de Philippe Labaune



Nota bene. Où l’on parle de nos livres
Le feuilleton d’Hubert Lambert
Joachim Séné pour Beignets de lecture, Nikola Descluses sur Paludes, Serge Cabrol pour Encres vagabondes.

Lectures de prison
Agnès Sandras sur son blog Bibliothèques populaires, Corinne Renou-Nativel pour La Croix, Claro sur Le clavier cannibale.
NEWSLETTER 21
mars 2019
DÉPLACEMENTS DE MARS. MAIS OÙ VA LE LAMPADAIRE?

On ne peut comprendre le monde si l’on ne connaît pas Bécon-les-Bruyères. Hubert Lambert n’est pas le seul à le dire.

«À la nuit presque tombée – puis carrément tombée – raid pédestre à Toukotondi, de l’autre côté de la rivière. Traversé un grand pont, qui passe par-dessus un îlot divisé en plusieurs jardins pour le chef de gare, le chef de district, le chef de dépôt, etc. Vive Bécon-les-Bruyères ! À Kayes, le chef de gare jouait du trombone; celui d’ici se livre au délices de l’horticulture : sa sueur doit engraisser son potager...» Michel Leiris, L’Afrique fantôme


Sur le site vous trouverez

Trois textes, trois formes (des calligrammes ?), de la feuille trop pleine à la feuille vide, qui interrogent en même temps le sens du monde et la manière d’en rendre compte.

Déplacements, de Claude Favre. Les 234 premiers vers d’un texte qui en compte 1690. Les vers numérotés se déplacent de la gauche à la droite de la page pour ne rien perdre du mouvement du monde. Merci à l’auteur et à son éditeur (les presses du réel / Al Dante) de nous avoir permis de déplacer le papier vers le web.

Traverser les marges pour écrire de part en part, tout remplir, ne laisser aucun blanc. Griffonner, hachurer, saturer, s’étaler. C’est une nouvelle de Grégory Hostein.

Radiocassette, un très bref texte de Bruno Lus qui claque la porte du livre.

À Bécon-les-Bruyères, car il faut aller à Bécon-les-Bruyères – maintenant vous le savez – venez écouter Michel Lansade qui fera entendre quelques uns de ces poèmes-textes publiés sur le site du Lampadaire. Le 22 mars, à 19h, c’est le printemps des poètes au Plongeoir.

Nota Bene.
Le Lampadaire est présent au salon des éditeurs indépendants qui se tient du 8 au 10 mars, 94 rue de Charonne.
Le Lampadaire est présent au salon Livre Paris, porte de Versailles, sur le stand de la Région Île de France, du 15 au 18 mars.
Dernière minute.Pour être plus efficace lors de la cérémonie des dédicaces, Hubert Lambert a commandé un tampon. N’hésitez pas à venir faire dédicacer votre exemplaire de son Feuilleton d’Hubert Lambert.

NEWS LETTER 20
novembre 2018
CALENDRIER DE NOVEMBRE ET PARUTIONS
Ah, enfin des nouvelles du Lampadaire


«Popeye marchait devant lui, semblable, avec son veston étriqué et son chapeau rigide, à un lampadaire art nouveau.» ,William Faulkner, Sanctuaire

Sur le site vous trouverez

l’annonce de notre nouvelle parution papier,
Le feuilleton d’Hubert Lambert écrit par Hubert Lambert
et puis
Quelques larmes par Pauline Moussours
Un peu de gourou par Khalid El Morabethi
Quelques cris par Fred Lucas
Quelques distiques tristes par Mademoiselle Lebbat
Un peu d’errance par Michel Lansade

Dans le monde non virtuel, pour voir, acheter et lire les livres du Lampadaire, vous pouvez diriger vos pas
- du 8 au 11 novembre, 14 rue des Beaux-arts Paris, 75006, à offprint Beaux arts, la librairie Lame présente nos livres
- du 16 au 18 novembre, 48 rue Vieille-du-Temple, Halles des Blancs-manteaux Paris 75004, nous serons à librairie du salon des éditeurs indépendants (stand A01-A03)
- le 22 novembre, 2 rue de Harlay 75001 Paris, le salon du livre du Barreau de Paris nous invite pour Lectures de prison
- le 30 novembre, 23 rue des Carmes, Arles 13200, présentation des éditions à la librairie l’Archa des Carmes.

Nota Bene.
Certes, Hubert Lambert ne dit pas beaucoup de bien de nous dans son feuilleton, mais ça n’a pas l’air de gêner ses lecteurs. Écoutez ce qu’en dit Joachim Séné dans les Beignets de lecture et Nikola Descluses sur Paludes
Radio campus Lille
Ici, une très sensible lecture des Lectures de prison, par Agnès Sandras.
, un bel article de Corinne Renou-Nativel sur l’impressionnant ouvrage.
BRÈVES N°2
février 2018
Conférence à la Colonie
CONFÉRENCE A LA COLONIE

Invitation pour la rencontre que nous organisons à La Colonie (128 rue La Fayette, 75010 Paris), le 14 mars prochain de 19h à 21h autour de Lectures de prison, ouvrage consacré à l’histoire des bibliothèques de prison et à l’accès (ou au non-accès) des personnes détenues à la lecture.
Au cours de cette rencontre, on débattra des problématiques liées à la lecture en prison, mais aussi des choix éditoriaux qui ont présidé à la conception du livre – archives, documents bruts, inventaires, listes – et de leur effet sur la réception de l’ouvrage.

Programme du 14 mars
Lectures de prison. De la recherche documentaire à la poétique du document

Intervenants
. Jean-Lucien Sanchez, historien : La pratique de la lecture en prison, XIX-XXe siècle
. Séverine Vincent, comédienne et collaboratrice d’Olivier Brunhes : Théâtre en prison, documenter le vivant
. Muriel Pic, écrivain : Le démon fugitif des minutes heureuses. Poésie (et) documentaire
. Philippine Chaumont et Thomas Bellegarde, graphistes : Design des Lectures de prison

Lectures de prison, les contributeurs
Préface : Philippe Claudel. Postface : Jean-Lucien Sanchez. Ouverture des chapitres : Philippe Artières, Jean-Louis Fabiani, Guillaume de la Taille, Marianne Terrusse, Claude Poissenot.
Direction éditoriale : Sophie Saulnier
BRÈVES N°1
novembre 2017
Le site des éditions papier


NOTEZ NOS RENDEZ-VOUS, LISEZ NOS LIVRES, FAITES VIVRE LE LAMPADAIRE

Visitez notre nouveau site http://le-lampadaire.org/ consacré à nos éditions papier.

Vous y trouverez
une très brève présentation des éditions Le Lampadaire,
des non moins courtes présentations de nos deux premiers livres.
. dans la collection des Nouveautés, un roman dont une partie de l’intrigue se déroule en prison et où il est question d’une bibliothèque idéale pour les détenus : Le Massicot (auteur Sophie Saulnier)
. dans la collection des Curiosités, un ensemble de documents (textes et images) sur la réalité des bibliothèques de prison et sur l’accès (ou le non accès) des personnes détenues à la lecture : Lectures de prison (direction éditoriale Sophie Saulnier. Préface Philippe Claudel. Ouvertures des chapitres : Philippe Artières, Jean-Louis Fabiani, Marianne Terrusse, Guillaume de la Taille, Claude Poissenot. Postface Jean-Lucien Sanchez).

Où acheter nos livres ?|
. sur notre nouveau site (aperçu et commandes en direct)
. à Paris, chez trois libraires :
Le Monte-en-l’air,
Librairie-L'Atelier,
La librairie du centre culturel suisse,
. chez n’importe quel libraire, en France ou à l’étranger, qui se fera un plaisir de prendre votre commande,
. dans les bibliothèques universitaires et municipales (oui, ils-elles nous passent des commandes) et peut-être même dans celles des établissements pénitentiaires.

Nous voir en vrai ?
. au salon de l’édition indépendante, l’Autre Livre, du 17 au 19 novembre, espace des Blancs Manteaux 48 Rue Vieille du Temple, 75004 Paris, stand A01-A03. Et nous entendre présenter notre ligne éditoriale, conçue comme un dispositif littéraire, aux rencontres du salon, dimanche 18 novembre à 16h30 (1er étage),
. à la librairie Le Monte-en-l’air, le 24 novembre de 18h30 à 21h pour le lancement des Lectures de prison et du Massicot.

Et l’ancien site du Lampadaire ?
Il reprendra vie à partir de janvier 2018 pour accueillir textes courts et expérimentations.

Le prochain thème ?
« Sur l’intelligence des plantes ». Envoyez-nous vos contributions.
NEWS LETTER 20
janvier 2017
EN JANVIER, LE LAMPADAIRE CROISE LARMES ET GOUROUS

Addictions, utopies trompeuses, sirènes au chant étrange, êtres inquiétants, rebutants, langue altérée ou purifiée, se révélant ou se cachant, le numéro de janvier poursuit ce qui reste ou ne reste pas de ce à quoi on a cru ou pas.

Rubrique GOUROUS/LARMES

Ça commence par deux textes longs
. Lait trompeur, de Sarah Roland : 11 chapitres-lettres adressés à celui qui a suivi l’alcool jusqu’à la mort.

. L'avenir improbable, de Françoise Gérard : les 23 derniers séquences d’un ouvrage qui en compte 53. On commence par un départ et on finit sur une impasse.

Ça continue par des textes plus courts
. La guenon, de Marianne Brunschwig : une femme à ne pas suivre.

. Le gourou chantant, de Louise Fonte : un homme à ne pas suivre.

. Grâce à un singe, À cause d’un singe, de Khalid EL Morabethi : un singe qui dit tantôt oui tantôt non.

. Criminelle expulsion de la vie de la planète ( expulsée dès "mes" 5 ans), chronique du chaos ordinaire // LA RÉVOLUTION DE LA TR SUR L MM, ANIMAL MINÉRAL VGTAL NE SONT PAS DES CRIMES !! / scroc 6tm s1dicopro /_ _écoloj tr à tr lecture et litrature rigolottes pas gay ni pagaie, de Daniel René Villermet : un bref extrait d’une longue autobiographie en cours d’écriture.

Ça finit par deux mini textes sur l’absence
. Il n’y a plus personne, de Maria Rantin.

. Votre moi intérieur, de Fred Lucas.

Rubrique LARMES/GOUROUS
On peut relire trois textes publiés dans la rubrique « LARMES » quand les larmes n’avaient pas encore été associées aux gourous. (Car) les larmes parfois (toujours ?) ont à voir avec les gourous.
. Les larmes de Fatima, de Maria Rantin
. Les larmes de Marguerite, de Agnès Jauffrès
. Les larmes de l’arbre, de Manuela Morgaine


ENRICHISSEMENT DE DEUX RUBRIQUES
. Hubert Lambert continue, dans son coin, à enrichir la rubrique « Quand les auteurs sont des personnages » : il a écrit Vincent vomit (vous pouvez même l’entendre, pas Hubert, mais son texte. Imaginez, Hubert a le son !).
. Valère Kaletva nous livre deux poèmes l’un pour la rubrique «Déplacements» c’est Schismatique, l’autre pour la rubrique «Attente/errance», c’est Le silure.

. APPEL À TEXTES ET NOTA BENE.
Comme nous l’avions annoncé dans notre dernière newsletter, ce numéro ne comporte pas de nouvel appel à texte, ils sont momentanément suspendus. Le Lampadaire se réorganise pour accueillir ses deux premières publications papier. Nous vous donnerons bientôt des nouvelles…
NEWS LETTER 19
septembre 2016
EN SEPTEMBRE LE LAMPADAIRE OBSERVE VOS GESTES

Les gestes du futur, les gestes du passé, la mécanique des gestes, arrêt sur gestes. Le numéro de septembre est le troisième volet d’une série de DÉPLACEMENTS.

des gestes qui s’apprennent et se désapprennent, des gestes qui dérivent de ne pas être à leur place, des gestes qui s’observent et dont on cherche la cause, des mots qui miment les gestes, des gestes qui traversent le temps et l’univers.

Gestes du futur. Julien Prévieux nous a prêté les photos de la troisième séquence de sa performance What Shall We Do Next III ?, éléments d’une « archive des gestes à venir ». Quels gestes ferons-nous, ou plutôt quels gestes nous feront faire les objets qui n’ont pas encore été inventés? Nous remercions l’artiste de se préoccuper de notre avenir et de nous avoir confié ses images avec tant de simplicité.

Gestes du passé. Nager marcher courir, les gestes appris par Marcel Mauss sont obsolètes, il s’en désole et en rit pour mieux prouver que tout geste est une technique du corps qui s’apprend et se désapprend.

Gestes glissés? Un texte anonyme, prétendument du Moyen âge, dérive ses gestes dans un monde de flux et de reflux, arrêté et en mouvement, vertical et horizontal. La mort ?

De la mer à la terre, quels gestes ? Alice Azzarelli croise la danse macabre d’un marin et pleure.

Geste à faire ou à ne pas faire. Balzac prétend avoir été le seul à tenter une Théorie de la démarche. Il observe les passants et développe 12 aphorismes sur la démarche. Où vous apprendrez que marcher en penchant la tête légèrement à gauche, c’est la classe.

Schéma de gestes. Dans sa Théorie de la démarche, Balzac encense puis maudit Borelli et son De motu animalium. Car si l’italien met bien les gestes en schéma, il n’en dit pas la cause ce que regrette le français. D’où l’on conclut que la mécanique n’est pas une théorie. La Tabula quarta nous permet tout de même d’admirer les Sisyphes-compas à moitié écorchés de l’italien.

Mots-gestes. Est-ce un hasard, mais Françoise Gérard donne l’impression de mimer avec des mots cette mécanique des gestes Borelliènne. Si les membres s’articulent les uns les autres et créent les mouvements, il en va de même des mots de Trame d’opéra qui avancent l’un l’autre, l’un après l’autre dans une sorte de mouvement bien huilé.

Pied cassé. On ne sait dans le poème d’Olivier Le Lohé, Urgences, ce que fait le temps à la réparation (ou non) du corps.

Gestes exagérés. Tout geste est hyperbolique dans La tasse de thé de Rafael Sperling, et les conséquences sont, comme il se doit, littéraires.

Un beau geste. Pour nourrir notre rubrique « Quand les auteurs sont des personnages », Julien Lezare nous a confié Breaking news III. Vous y rencontrerez Kant et Nietzsche dans une sorte de zapping-pot-pourri de déluge informationnel délirant. C’est un extrait d’un roman de 46 891 mots, soit 265 236 caractères formant 3 parties et 24 chapitres, qui tente de répondre au « besoin de rendre un peu plus intelligible le monde » (nous a dit l’auteur).

Dernier geste. Dans la même rubrique, Hubert Lambert nous présente sa dernière biographie, celle de Fred Lucas. Ne voulant pas être en reste sur les gestes, il n’a pu s’empêcher de voler à Marcel Mauss quelques remarques, vous les trouverez à la fin de sa Biographie lambertienne de Fred Lucas .

. APPEL À TEXTES.
Tous les thèmes sont regroupés dans la rubrique « Appel à textes ».
Vous pouvez encore nous envoyer vos textes pour le thème 13 : « Druides et gourous », ce sera notre dernier appel à textes avant nos publications papier.
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact ».
NEWS LETTER 18
février 2016
EN FÉVRIER, LE LAMPADAIRE DÉPLACE TEMPS ET ESPACE

Des départs qui sont des retours, des chemins qu’on suit pas à pas, à peine des pas. Le numéro de février est le second volet d’une série de DÉPLACEMENTS.

. cinq déplacements et un auteur aveugle

on ouvre avec un départ, Même Nancy c’est mieux, un « poème-bidule » de Heptanes Fraxion
on suit le chemin de la gare, Le chemin de la gare, un « texte autobiographique» de Michel Lansade
on réceptionne une boîte, La Boîte, une nouvelle souvenir de Christian Béthune
on suit les lignes de la piscine, Piscine, une nouvelle sportive de Marianne Brunschwig
et on finit par monter sur une table, Monter sur la table, une nouvelle tragique de Rafael Sperling traduite du portugais (Brésil) par Stéphane Chao

la table sur laquelle est à peine posée
la boîte qui contient le thé infusé
avec l’eau de la piscine
qui n’est ni à Saint-Lazare, ni à la Folie,
ni à Nancy
mais avenue d’Alembert.
La Chine se sera pour plus tard.
Nos déplacements sont infimement infinis.

Quant à Hubert, il continue d’écrire les biographies de certains de nos auteurs (voir la rubrique AUTEURS-PERSONNAGES). Perrine Poirier est aveugle c’est ce que vous apprendrez en lisant la Biographie lambertienne de Perrine Poirier.
Pour vous permettre d’étudier plus facilement l’influence des éléments biographiques sur l’écriture, et inversement, vous trouverez des liens qui vous dirigeront des biographies lambertiennes aux textes de fiction des biographiés et, inversement, des textes de fiction aux biographies.

. APPEL À TEXTES.
Tous les thèmes sont regroupés dans la rubrique « Appel à textes ».
Nous vous invitons à proposer vos DÉPLACEMENTS 3: nous les aimerions géographiques.
Vous pouvez aussi nous envoyer des textes hors thèmes s’ils correspondent à l’esprit du Lampadaire.
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact ».

. INFO.
Le Lampadaire est maintenant référencé par Ent’revues.

. Nota Bene. Le temps se déplace et s’étire, il paraît même que notre espace-temps a bougé, c’est sans doute pour cette raison que le Lampadaire de décembre paraît en février.
NEWS LETTER 17
octobre 2015
EN OCTOBRE, LE LAMPADAIRE AIME LE MINIMALISME

Un minimalisme animalien, le souffle d’une âme animale ? Un déplacement infime de l’homme à l’animal et réciproquement ? Le numéro d’octobre est le premier volet d’une série de DÉPLACEMENTS.

. cinq déplacements, un lustre brisé et un auteur maussade

si l’homme ne veut pas être l’homme qu’on lui demande d’être, NOUS (ne) SOMMES (pas), un poème en diptyque de Béatrice Brérot

si l’ange ne veut pas être homme, Confession d’un ange, une nouvelle d’Antonio Prete traduite de l’italien par Danièle Robert

si le vide attend son moment, Le souffle du manque, une nouvelle d’Antonio Prete traduite de l’italien par Danièle Robert

si les hommes délèguent aux coqs leur faculté de se battre,
Quand tu dormiras, je chanterai
, une nouvelle de Krishna Monteiro traduite du portugais (Brésil) par Stéphane Chao

si les hommes refusent à l’homme le droit d’être un chien, Mutation d’un bipède sans plumes, une nouvelle d’Alice Azzarelli

. alors les lignes se déplacent

si on s’amuse à casser les lustres, Le lustre de Licha, texte Anne Cauquelin, exposition Emmanuel Licha

si un auteur prête sa vie à Hubert, Biographie lambertienne de Joseph Pasdeloup, un travail en cours d’Hubert Lambert

. alors on n’est plus nulle part


. APPEL À TEXTES.
Tous les thèmes sont regroupés dans la rubrique « Appel à textes ».
Nous vous invitons à proposer vos DÉPLACEMENTS.
Nous avons reçu une étrange proposition de thématique, nous vous la donnons telle que : « Druides et gourous ».
Béatrice Brérot, dont vous pourrez lire un texte dans cette publication d’octobre, nous a offert une phrase qui enrichit le thème « Et toujours la lumière » : aux êtres lumineux / l'obscurité ne noircit pas même l'intérieur des paupières.
Vous pouvez aussi nous envoyer des textes hors thèmes s’ils correspondent à l’esprit du Lampadaire.
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact ».

. Nota Bene. Si cette lettre d’octobre vous parvient en novembre, c’est la faute à Hubert, il a traîné, traîné pour nous rendre sa copie, sa biographie de Joseph Pasdeloup, et il nous a mis en retard. Voici l’excuse qu’il nous a donnée : « autant il a été facile d’écrire la biographie de Maria Rantin, prolixe en détails, autant il fut difficile de tirer deux ou trois informations de la bouche avare de Joseph Pasdeloup. » Une excuse valable ? À vous de voir.
NEWS LETTER 16
juillet 2015
EN JUILLET, LE LAMPADAIRE CROISE AUTEURS ET PERSONNAGES

Quand les auteurs deviennent des personnages de fiction
on ne sait plus ce qui est vrai, ce qui est faux.
Dommage ?


. PRÉSENTATION.

-Commencez par lire les mails échangés par Vincent Puente et Sophie Saulnier, Correspondance. Ils permettent de comprendre l’origine et les enjeux de ce numéro de juillet QUAND LES AUTEURS SONT DES PERSONNAGES. Vous y trouverez aussi un document « édifiant » proposé par Vincent Puente.

-Tout naturellement vous continuerez votre voyage en lisant l’extrait du roman Tous les chiens sont bleus de l’auteur brésilien Rodrigo de Souza Leão puisque c’est à la lecture de ce texte proposé par Emilie Audigier, sa traductrice, que nous avons décidé de notre thématique. Un pacte de sang entre un type enfermé dans un asile d’aliénés Rimbaud et Baudelaire ne pouvait que nous plaire.

-Poursuivez avec deux nouvelles brésiliennes, « La secrétaire de Borges» de Lúcia Bettencourt et « Les croisements du docteur Rosa» de Krishna Monteiro, toutes deux proposées par Stéphane Chao, traducteur et agent littéraire.
Lúcia Bettencourt joue-t-elle à l’iconoclaste en dénonçant l’usurpation de Borges ou propose-t-elle une réflexion sur l’élaboration de l’écriture, dialogue entre soi et soi ?
Si le grand Borges est connu de tous, João Guimarães Rosa l’est peut-être moins. Il est l’auteur d’un unique roman Diadorim au souffle épique empli de l’esprit mystico-militaire du Sertão, espace réel et légendaire, monstrueux. Comment expliquer cette écriture à la fois débordante et trébuchante autrement que par le pacte scellé par Krishna Monteiro entre le docteur Rosa et le diable ?

-Passez ensuite à la geste extraordinaire des identaristes « De l’identitarisme ou Les Palmes Académiques du Mutisme littéraire en Amérique Latine» de Vincent Puente. Vous y trouverez la même ambiance latino américaine et la question de l’écriture poussée à son paroxysme car qu’est-ce qu’un écrivain se réclamant du mutisme littéraire ? Preuves à l’appui (photo, citations, dates, biographies…), Vincent Puente écrit le mythe fondateur du renouveau de la littérature sud-américaine, celui qui « a permis de faire germer dans l’inconscient des générations futures d’écrivains sud-américains l’idée de leur différence et cette singularité grisante qui depuis un siècle caractérise leur œuvre.»

-Enfin, terminez votre voyage littéraire par la Biographie lambertienne de Maria Rantin. Une expérience in vivo à laquelle s’est prêtée Maria Rantin, une de nos auteurs. Qu’est-ce qui est vrai, qu’est-ce qui est faux dans cette biographie écrite par Hubert Lambert, lui qui s’essaye à l’écriture mutique depuis si longtemps ?

. APPEL À TEXTES.
Toutes les thèmes sont regroupés dans la rubrique « Appel à textes ».
Vous pouvez aussi nous envoyer des textes hors thèmes s’ils correspondent à l’esprit du Lampadaire.
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact ».

. Nota Bene.Vous l’aurez sans doute remarqué, ce n’est pas Hubert Lambert qui signe cette NL. Nous la lui avons retirée, il ne peut écrire la NL d’un numéro dans lequel il intervient. On ne peut être dedans et dehors en même temps. En principe.
NEWS LETTER 15
avril 2015
EN AVRIL, LE LAMPADAIRE CROISE L'ATTENTE ET L'ERRANCE

Peut-être l’avez-vous remarqué le feuilleton d’Hubert Lambert a disparu du site (nous vous en dirons les raisons plus tard). Pour le consoler nous lui laissons la rédaction de la news letter. Et il s’amuse avec vos textes, mélange l’ancien et le nouveau, cherche à faire des séries, fait attendre les animaux, piétiner les humains et ne sait, comme d’habitude, s’il doit rester ou partir.


Il faut qu’il y ait de l’attente dans l’errance et de l’errance dans l’attente

car

car les gestes convulsifs-compulsifs de l’homme dans un espace à trois murs que l’univers électrise. Holistic strata, Hiroaki Umeda.
car l’attente obsessionnelle de quelque chose que l’on ne fera pas mais que l’on sait que l’on aurait pu faire. L’Errance intérieure, Cyrille Godefroy.
car l’obsession attentive du moindre geste qui n’a plus le sens d’être. En grand, C.Von Corda.
car errer dans un espace vide est-ce attendre pour l’éternité ? Un jour quelque part, Rafael Sperling.

et puis car

car Ulysse aussi attend. On fait toujours attendre la sédentaire Pénélope, mais que fait d’autre Ulysse que d’attendre de repartir, d’épreuve en épreuve, de piège en piège car « il était retenu dans les demeures d'une Nymphe » chant V, « car qui pourrait voir un Dieu et le suivre de ses yeux, s'il ne le voulait pas ? » chant X L’Odyssée, Homère.
car l’attente est liée aux pièges que l’on tend à l’autre, ou dans lesquels on est pris et comment s’en défaire, comment partir ? Dans quelle langue dire et penser son départ ? Compter les heures, Sophie Saulnier.
car alors faut-il compter pour retrouver son chemin ? L’égaré, Manuela Morgaine.

et puis car

car qui voudrait parler à une perruche pour faire attendre l’attente d’un homme attaché-détaché ? La brodeuse et les perruches, Agnès Jauffrès.
car le chant d’un magnifique coq est magnifique. « Le coq attaché » parabole extraite de L’homme mort de D.H. Lawrence.
car le voyageur Jack London fait parler les chiens et Anne Cauquelin lui offre en miroir l’énigmatique Jerry dans l’île.

et puis car

car l’errance mobile-immobile se confond toujours avec l’errance, ou au moins trois fois. « Trois attentes » Journal de cellule de Roland de Pury, Attaque et Klezmer de C. Von Corda.
car « Il fallait quitter la rive connue, s'élancer à travers cet espace incertain, ces terrains en attente » Paysages de l’errance, Françoise Gérard.
car « Il y a ce qu’on ne pensait jamais devoir vivre » Clandestins, Monika Madrigali.

et enfin car l’errant est un homme, et l’homme attend. De l’errant, Michel Lansade.

N.B. Certains de ces textes ont déjà été publiés pour la thématique de l’errance, les croiser avec l’attente leur ouvre d’autres horizons (il s’agit de Jerry dans l’île, Journal de cellule, Attaque, Klezmer, Paysages de l’errance, De l’errant, L’égaré, Un jour quelque part).

. APPEL À TEXTES.
Toutes les thèmes sont regroupés à la rubrique «Appel à textes».
Les trois prochaines thématiques du Lampadaire seront :
« Les larmes »
« Quand les auteurs sont des personnages ».
« Déplacements »
Et n’oubliez pas les thèmes plus anciens, ils sont toujours d’actualité.
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact » .
NEWS LETTER 14
janvier 2015
EN JANVIER, LE LAMPADAIRE EXTRAIT DES PORTRAITS

Cette NL est rédigée par Hubert Lambert auquel le Lampadaire a donné, à ses risques et périls, carte blanche.

. PRÉAMBULE.
Le Lampadaire n’en ayant pas fini avec la famille décida de continuer sa galerie de portraits.
La première série contenait 9 portraits, avec 6 de plus sa galerie en contient 15. Il en avait pourtant visé un seizième, mais impossible de l’extraire de sa famille d’origine, celui-là. Car tous ces portraits isolés il fallut les emprunter, les extraire, promettre ceci et cela pour les avoir. Tout un travail, vous n’imaginez pas. Trois mois !

. PRÉSENTATION.
-Pour le texte d’Alain Frontier, 1er chapitre extrait de son roman Le compromis, je ne devrais pas le dire, car on ne doit jamais dévoiler les coulisses, mais ce fut toute une histoire : des sauts de lignes, des alinéas qui ne voulaient pas se faire… La révolte, ou plutôt la résistance passive de la technique ! Mais il nous le fallait ce portrait : un auteur masculin parmi toutes ces écritures féminines, et un portrait de père parmi des portraits de mères, grand-mère, filles… C’était nécessaire. Merci à l’auteur et à son éditeur qui ont autorisé la publication.

-Pour le texte de Perrine Poirier, Les enfants que j’ai eus, il fallut l’extraire d’une tête un peu fragile et surtout se confronter au terrible Portrait de famille 2 (il ouvre le récit) de Malek Gnaoui, courir après des permissions, aller jusqu’à Tunis, visiter des galeries fermées, passer par des amis d’amis. Une quête. Une quête dont a profité Perrine Poirier pour confondre, dans son écriture, le portrait de famille de Nicole Tran Ba Vang (série « portraits») et celui, tout aussi étrange, de Malek Gnaoui. On ne va pas le lui le reprocher, mais quelle histoire ! Remerciements à l’artiste, au galeriste et à l’ami du Lampadaire.

-Pour le texte d’Arielle Lacazzi, Le Pen à jouir, il fallut le découvrir, le repérer, puis l’extraire de la revue Dissonances qui l’avait publié dans son numéro consacré à l’orgasme. Cela s’est fait sans douleur, il faut bien le dire et remercier la revue et son directeur. Un texte parfaitement terrible à l’efficacité redoutable.

-Pour le texte d’Agnès Jauffrès, Deux mères, il fallut supplier, réconforter, promettre le silence, surmonter les peurs. Mais concédons-le, un double accouchement, cela ne peut se faire sans douleur.
P.S. Excusez ma brièveté, mais c’est ma patronne, ma situation est donc délicate : si j’en dis trop de bien, ça passera pour de la basse flatterie, si je laisse mon acidité parler qu’adviendra-t-il de moi ?

-Pour le texte de Françoise Sliwka, <i|Le jour de la photo, ce ne fut pas difficile car ce portrait-là avait déjà quelqu’un de sa famille sur le site du Lampadaire (Kolia). Quelqu’un qui l’attendait pour reconstituer sa propre famille. Seulement, l’auteur s’est perdue dans le champagne des fins d’année et pour la retrouver ce fut une autre histoire.

-Et puis, pour nos Curiosités et parce que c’est Beckett, et qui peut faire mieux que lui, nous vous offrons quelques lignes extraites de ses Textes pour rien. Un père.

. APPEL À TEXTES.
Le Lampadaire n’en a toujours pas fini avec la famille. Qui d’ailleurs pourrait le prétendre ? Vous pouvez donc m’envoyer d’autres textes sur ce thème, nous les publierons peut-être.
Ce qui est sûr, c’est que le prochain numéro (si je compte bien ce sera le 15 avril) mêlera les thèmes de l’errance et de l’attente. Envoyez-moi vos textes.
Et puis, il y a ce titre qu’on me charge de vous annoncer « Quand les auteurs sont des personnages ». C’est un peu mystérieux, mais si ça vous inspire…
Et n’oubliez pas les thèmes plus anciens, ils sont toujours d’actualité.
Vous trouverez tous les appels à textes à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique «Appel à textes».
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact ».

signé Hubert Lambert-Charlie


. Nota Bene. Vous trouverez tous ces textes dans la rubrique « Camps éphémères » à la suite des précédents portraits que vous ne devrez pas hésiter à relire. Je vous l’ai dit, il y en a 15, les 6 derniers sont les nouveaux, leur titre est précédé du chiffre 2. Autant être précis !
NEWS LETTER 13
octobre 2014
EN OCTOBRE, LE LAMPADAIRE AIME LES PORTRAITS

Le Lampadaire reprend du service et change un peu ses manières de faire.
La publication de mensuelle devient trimestrielle.
Une nouvelle rubrique, «Camps éphémères» accueille les textes rassemblés autour d’une thématique.
Pour octobre, la rubrique se présente ainsi :

CAMPS ÉPHÉMÈRES : portraits de famille

Dans ce numéro, nous avons associé trois textes (et deux photos) déjà parus sur le Lampadaire avec d’autres textes (et d’autres images) que vous n’y avez encore jamais lus (ni vus). On reprend, on renouvelle, on réassemble, on ressasse et un autre sens s’installe.

Les textes y sont déposés dans un ordre pensé. Vous pouvez les lire dans l’ordre proposé ou dans l’ordre de votre choix.

Que cela ne vous empêche pas, bien sûr, d’aller visiter les autres rubriques. Le Feuilleton d’Hubert Lambert, Les écritures parallèles, 6 écrivains et la lumière, Sur la lumière, Sur le Lampadaire.
Les textes sont à lire et à relire. Ils vous attendent.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. PORTRAITS DE FAMILLE.
L'artiste plasticienne Nicole Tran Ba Vang, artiste française d'origine vietnamienne issue du monde de la mode, nous a prêté les photos de sa série.
Sandrine Maurial, docteur en arts, nous a livré quelques réflexions sur cette artiste qu’elle nous a fait découvrir. Vous trouverez son texte sous l’entrée« Sandrine et Nicole».
Nous les remercions toutes deux de s’être prêtées aux jeux du Lampadaire.

La photographe Lucie Pastureau évoque souvent les albums de famille. Vous avez peut-être déjà vu sur le site deux de ses photos, les revoici. Elles ont inspiré trois fictions à relire sous le prisme de notre nouvelle thématique.
. La défense de Pasiphaé de Joseph Pasdeloup, auteur mythologisant qui s’est précipité avec joie dans l’évidence d’une des photos : quelles troubles relations peuvent bien s’installer entre Pasiphaé et ses enfants ?
. Les Puces de maison de la mystérieuse Maria Rantin (est-elle une femme de ménage recyclée dans la littérature ?). Son texte parle-t-il de puces, de ménage, ou de relations entre une femme, son mari, ses enfants ?
. Un court récit au long titre Pensées de la dame sur son banc, tenant en sa main une enveloppe contenant une photo sans un mot d’accompagnement écrit par notre auteur-enquêteur Fred Lucas. Lucile et Raphaëlle s’y appesantissent (c’est le cas de le dire) sur les relations mère-fille.

Vous trouverez aussi deux nouveaux textes.
. Dans Dies Irae, on pète les plombs. Joseph Pasdeloup, confond toutes les photos, toutes les images. Essayez donc d’y comprendre quelque chose !
. Françoise Sliwka, comédienne et écrivain, nous a confié un des personnages de son roman Dimanche matin peut-être. C’est Kolia. Il est dorénavant dans l’incapacité de participer aux fêtes de famille. Il ne peut que les évoquer et faire appel à ses souvenirs.

L’ensemble se clôt sur un extrait (en langue anglaise) de Steinbeck qui illustre la rubrique « campements éphémères » : les textes, comme les familles, s’y assemblent temporairement. Au prochain campement, certains se retrouveront, des nouveaux venus côtoieront des anciens. Il s’intègre aussi dans la thématique de la famille et son paradis illusoire.

. APPEL À TEXTES.
Trois thématiques sont à notre programme :
. Le reflet
. Et toujours la lumière
. Quand les auteurs sont des personnages
Et n’oubliez pas les thèmes plus anciens, ils sont toujours d’actualité.
Vous trouverez tous les appels à textes à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique «Appel à textes».
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact »

. Nota Bene. Pour nos fidèles lecteurs, il nous faut donner quelques nouvelles d’Hubert Lambert. Il nous a fait parvenir un message expliquant pourquoi il ne voulait plus écrire, vous le trouverez dans sa rubrique sous le titre « Dernier message d’Hubert Lambert ». Il semble que son délire paranoïaque ne se soit pas arrangé. Malgré tout, il nous prie de vous dire que, s’il n’écrit plus, il sera toujours votre lecteur. Vous pouvez donc continuer à lui adresser vos textes.
NEWS LETTER 12
juin 2014
EN JUIN, LE LAMPADAIRE JOUE LA DÉSOLATION

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a 12 mois d’existence. Vous lisez sa douzième newsletter.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


Après un an (nous en sommes au numéro 12) le Lampadaire fait une pause. Mais est-ce parce qu’il a décidé de prendre des vacances et de vous faire attendre jusqu’à l’automne son prochain numéro que tout ce qu’il publie en ce mois de juin est si désolant ? En tous les cas, tout est triste. Trois attentes, une lettre inattendue, un égaré, une disparition, un séjour en cellule et quatre vers, tel est le programme du Lampadaire de juin. Oui, il est temps de prendre des vacances.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. LE JOURNAL DE CELLULE.
C’est une curiosité qu’une amie du Lampadaire lui a dénichée et qui vaut pour toutes (ou presque) les nouveautés de cette publication sur l’attente. Il s’agit d’un extrait d’une conférence, intitulée « Le combat du prisonnier », qui précède le journal « rédigé dans l’angle mort de la cellule » par Roland de Pury du 30 mai au 29 octobre 1943. Rubrique « Écritures parallèles », sous-rubrique «L’attente : journal de cellule ».

. LA LETTRE DE LA FILLE DU SOLEIL.
Fred Lucas est un auteur qui, comme son nom l’indique, aime mener des enquêtes. Il a déjà lancé l’enquête sur la mort de Nerval, et puis il a assis une dame sur un banc, lui a écrit un petit texte « Être face à un réverbère». Et voilà que maintenant c’est quelqu’un d’autre qui lui écrit, à la dame. Oui, elle reçoit une lettre. De qui est cette lettre ? Pourquoi l’a-t-elle reçue ? C’est ce que cherche à savoir notre enquêteur en croisant son histoire avec celle d’un autre personnage de notre site. Vous le reconnaîtrez sans doute.
À lire dans la rubrique « Sur la lumière», sous-rubrique « La lettre de la fille du soleil ».


. 3 ATTENTES.
Un nouvel auteur nous a proposé ses textes, C. Von Corda. Ils vous surprendront peut-être, leur violence nous plaît. Nous en avons sélectionné trois, trois attentes. Les deux premiers (Attaque, Klezmer) sont relativement brefs (le texte, pas l’attente). Le troisième, En grand, est un peu trop grand pour le format du site : c’est pourquoi vous ne lirez que les deux premières journées de ce semainier. Un autre jour nous vous en donnerons la suite. Rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique « 3 attentes».

. L'ÉGARÉ .
Manuela Morgaine nous a confié un autre passage de son Journal de bois. Ne vous y perdez pas. Rubrique « Écritures parallèles», sous-rubrique «L’égaré».

. LE DOUZIÈME ÉPISODE DU FEUILLETON D’HUBERT LAMBERT.
Est-ce la perspective de vacances forcées, nous ne le savons pas, en tous les cas Hubert a disparu, laissant derrière lui quelques notes sans doute prises lors de ses escapades (il croyait nous berner, partir en douce, sur la pointe des pieds, mais bien sûr, nous étions au courant et le laissions faire). Nous publions ces bribes de textes faute de mieux. Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Épisode 12».

. 4 VERS.
Fred Lucas, encore lui, est allé voir l’exposition de Gustave Doré. Et évidemment, il n’a pas manqué de repérer la lithographie représentant la mort de Nerval. Il a noté les 4 vers de Nerval que Gustave a écrit en bas à droite de la lithographie au crayon sur Chine collé. Il nous a demandé de les rajouter à la fin de son article. Nous n’avons pas pu le lui refuser. Rubrique « Sur la lumière », sous-rubrique «Pour en finir avec le réverbère de Nerval ».

. UN APPEL À TEXTES.
En avril, nous avons pleuré, nous pleurerons encore. Envoyez-nous vos textes sur les larmes. En juin nous attendons, nous attendrons encore. Envoyez-nous vos textes sur l’attente. En septembre, nous jouerons, vous jouerez avec les reflets. Nous vous attendons.
Et n’oubliez pas les thèmes plus anciens, ils sont toujours d’actualité.
Vous trouverez tous les appels à textes à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique «Appel à textes».
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Nota Bene. Si vous êtes trop paresseux pour aller de rubriques en rubriques en sous-rubriques ; si vous avez la mémoire trop courte pour faire le tri entre ce que vous avez déjà lu mais dont vous ne vous souvenez pas vraiment et ce qui est nouveau et que vous ne pouvez pas avoir déjà lu, vous pourrez lire toutes ces nouvelles publications sur la page d’accueil du site.

Lisez le Lampadaire et faites-le lire autour de vous.
NEWS LETTER 11
mai 2014
EN MAI LE LAMPADAIRE AIME LES CURIOSITÉS

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a 11 mois d’existence. Vous lisez sa onzième newsletter.
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Que signifient les catégories « Nouveautés » et « Curiosités » visibles sur le site? Il serait temps que le Lampadaire s’en explique.
Il le sait, le Lampadaire, un texte n’est jamais seul, il se nourrit de mots, d’images, de choses vues, de choses lues. Les traces en sont plus ou moins explicites, parfois souterraines, parfois affleurant à la surface du nouveau texte, parfois l’envahissant.
Alors le Lampadaire accueille les nouveautés et les range dans la catégorie du même nom, il cherche leurs sous-textes et les classe dans les « Curiosités ».
Mais si chaque texte possède son (ou ses) sous-texte(s), il a différentes façons de l’ (ou les) acquérir. C’est ce que ce numéro de mai tente d’établir. – Anne Cauquelin y fait référence explicitement – À notre invitation, Françoise Gérard s’est cherché le sien bien après avoir écrit son propre texte – Hubert Lambert a fait découvrir à Maria Rantin un sous-texte qu’elle ne se connaissait pas (et il semble qu’il en ait un autre en réserve.) – Quant à Michel Lansade, qui a déjà son sous-texte (souvenez vous de l’homme qui a perdu son ombre), il nous confie plutôt le sur-texte du Lampadaire.
N.B. Vous trouverez ces curiosités du mois de mai à la suite des textes qui leur sont associés. Pour en déguster la saveur, nous vous conseillons de lire les deux, la nouveauté et sa curiosité.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. LE CHIEN JERRY DE JACK LONDON..
En parallèle au récit d’Anne Cauquelin, nous vous proposons un extrait du Jerry in the islands de Jack London où l’on voit avec stupeur que le chien Jerry apprend à parler. Rubrique « Écritures parallèles », sous-rubrique « L’île mystérieuse d’Anne Cauquelin ».

. QUAND LES SIRENES SE TAISENT.
Françoise Gérard écrit sur le nord. Elle nous a fait découvrir un roman. Voici ce qu’elle en dit : « J'ai relu Quand les sirènes se taisent de M. Van der Meersch : évocation des conséquences désastreuses d'une grève générale très dure menée autant par les patrons que par les ouvriers des usines textiles de Roubaix et Tourcoing vers 1930. […]Les extraits pourraient la concerner lorsqu'elle se sent bien dans la courée où elle habite avec ses parents: elle décrit pour elle-même chacune des douze petites maisons qui la composent et se font face sur deux rangées... » À lire dans la rubrique « Ecritures parallèles», sous-rubrique « Paysages de l’errance ».

. LES LARMES DE SAINT AUGUSTIN.
Maria Rantin jure ses grands dieux qu’elle n’avait aucune connaissance du texte d’Augustin avant d’écrire Les larmes de Fatima. C’est notre lecteur, Hubert qui, fouinant toujours partout, a fait cette trouvaille : deux extraits du livre III et du Livre IV, dans lesquels Augustin s’interroge sur sa vie, et les turbulences de sa jeunesse. Il évoque les plaisirs du spectacle et la douceur des larmes. Elle en est stupéfaite, Maria Rantin, espérons qu’elle ne se prenne pas pour une sainte.
Nous avons choisi la nouvelle traduction de Frédéric Boyer qui transforme les Confessions en Aveux. Nous le remercions d’avoir accepté la publication pour le Lampadaire. Rubrique « Écritures parallèles », sous-rubrique « Les larmes de Fatima».

. UN VOYAGE EN LAMPADAIRE.
Adeline Zoursdu, l’héroïne du Voyage à la mer de Michel Lansade, continue son voyage, mais cette fois-ci au pays du Lampadaire. Elle y poursuit ses auteurs favoris, en fait toute une histoire. Dans l’ordre d’apparition, vous reconnaîtrez Michel Tortorici, Danièle Robert, Françoise Gérard, Sophie Saulnier, Joseph Pasdeloup, Anne Cauquelin, Agnès Jauffrès. On y croise aussi des flots de larmes et des lumières éphémères et, bien sûr, Michel Lansade. Rubrique « Sur le lampadaire », sous-rubrique «Voyage en lampadaire».

. LE ONZIÈME ÉPISODE DU FEUILLETON D’HUBERT LAMBERT.
Nous le craignons, Hubert Lambert est à lui-même son propre sous-texte, lui qui continue à chercher dans les vieux manuscrits sa famille. Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Épisode 11».

. NOS AMIS LES LUSTRES.
Parfois les curiosités se répondent entre elles. Si les lustres de l’Athénée formaient une sorte d’écho comique aux lustres des « 6 écrivains et la lumière», ils se mettent maintenant à se prendre au sérieux et à se disputer entre eux. Rubrique « Sur la lumière », sous-rubrique « Les lustres de l’Athénée ».

. UN APPEL À TEXTES.
En avril, nous avons pleuré, nous pleurerons encore. Envoyez-nous vos textes sur les larmes. Sur l’attente, aussi. Toutes les attentes, les larmoyantes, les hilarantes, les sinistres, les rocambolesques, les ubuesques, les burlesques ou les simplissimes. En un mot, les lampadairesques.
Et n’oubliez pas les thèmes plus anciens, ils sont toujours d’actualité.
Vous trouverez tous les appels à textes à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique «Appel à textes». Collection des Nouveautés.
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NEWS LETTER 10
avril 2014
EN AVRIL LE LAMPADAIRE RECUEILLE LES LARMES

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a 10 mois d’existence. Vous lisez sa dixième newsletter.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


En avril on s’essaye aux larmes, des larmes de toutes sortes. Les femmes pleurent, ou ne pleurent pas, les arbres pleurent et parlent latin. Tout le monde pleure. Sauf Hubert.

A l’adresse du Lampadaire, vous trouverez :

. LE DIXIÈME ÉPISODE DU FEUILLETON D’HUBERT LAMBERT.
Quoi qu’on lui dise, Hubert, sous ses airs soumis, n’en fait qu’à sa tête. Il s’est encore échappé, cette fois-ci pour se réfugier dans une bibliothèque à la recherche de sa famille. Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Épisode 10 ».

. LES LARMES DE FATIMA.
Maria Rantin a de la suite dans les idées, elle nous revient avec une nouvelle question. Dans son premier texte, son héroïne se demandait comment venir à bout des puces de maison, aujourd’hui une autre de ses héroïnes, Fatima, se demande comment faire pour pleurer. Bonne question pour un numéro consacré aux larmes. Vous aurez la réponse en vous rendant à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique « Les larmes de Fatima ».


. LES LARMES DE MARGUERITE.
Après avoir écrit sur l’alliance lumineuse de Dante et de Pascal Torrès, Agnès Jauffrès se fait lectrice de Marguerite Duras. Elle cherche les larmes de Marguerite, le moment où elles se disent, le moment, mais est-ce trop tard, où elles coulent. Rubrique « Écritures parallèles », sous-rubrique « Les larmes de Marguerite ».

. LES LARMES DE L’ARBRE.
Pour le Lampadaire, même les arbres pleurent quand on le leur demande. Ils pleurent sur leurs noms perdus en une longue litanie latine Nous accueillons Manuela Morgaine qui nous a prêté un extrait savant de son livret. Nous la remercions ici. Rubrique « Écritures parallèles », sous-rubrique « Les larmes de l’arbre ».


. UN APPEL À TEXTES.
Pleurez, pleurez encore, nous continuons à recueillir vos textes, ce qui ne nous empêche pas de vous proposer un nouveau thème : « L’attente », toutes les attentes, les larmoyantes, les hilarantes, les sinistres, les rocambolesques, les ubuesques, les burlesques ou les simplissimes. En un mot, les lampadairesques.
Et n’oubliez pas les thèmes plus anciens, ils sont toujours d’actualité.
Vous trouverez tous les appels à textes à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique « Appel à textes ». Collection des Nouveautés.
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact »

Nota Bene. Si vous êtes trop paresseux pour aller de rubriques en rubriques en sous-rubriques ; si vous avez la mémoire trop courte pour faire le tri entre ce que vous avez déjà lu mais dont vous ne vous souvenez pas vraiment et ce qui est nouveau et que vous ne pouvez pas avoir déjà lu, vous pourrez lire toutes ces nouvelles publications sur la page d’accueil du site.
NEWS LETTER 9
mars 2014

EN MARS LE LAMPADAIRE AIME LA DIVERSITÉ

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a neuf mois d’existence. Vous lisez sa neuvième newsletter.
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Ouf, après la vie trépidante que nous a fait mener la mise au point du numéro spécial de février, le Lampadaire reprend son rythme de croisière. Hubert Lambert, en bon feuilletoniste, est content de retrouver sa place. De nouveaux lustres (tiens, ils ont des noms – bon on ne va non plus en faire toute une histoire) prennent la suite de nos lustres littéraires. Nous accueillons un nouvel auteur venu des terres lointaines, et, encore une fois, il est question d’une fenêtre.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. LE NEUVIÈME ÉPISODE DU FEUILLETON D’HUBERT LAMBERT.
Quand on pose des questions à Hubert, il y répond. À sa manière. N’hésitez pas à l’interroger. Malgré ses airs revêches, ça lui fait plaisir. C’est sûr. Lisez son neuvième épisode, vous en apprendrez plus sur lui. Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Épisode 9 ».

. UNE AUTRE ERRANCE.
Un jeune auteur brésilien, Rafael Sperling, nous introduit dans d’étranges mondes sans haut ni bas. Peut-on errer dans un monde sans repères ? Lisez sa nouvelle Un jour, quelque part, inédite en français. Émilie Audigier, sa traductrice, nous l’a fait connaître, nous la remercions ici. Vous trouverez le texte en français et, si vous êtes lusophones, dans sa langue originale en vous rendant à la rubrique « Écritures parallèles », sous-rubrique « Le monde de Rafael Sperling ».

. NOS AMIS LES LUSTRES.
Clémence Hérout, blogueuse pour le théâtre de l’Athénée, aime discuter avec les lustres, les appeler par leurs noms, leur inventer une vie. Elle nous prête ici texte et photos. Nous la remercions, bien sûr, et nous accueillons avec plaisir Michel, Papi, Patron, Shérazade, Jaba le Hutt, Balthazar et Anastasia. Mon Dieu, ça en fait des amis pour le Lampadaire. Jamais plus il ne se sentira seul. Rubrique « Sur la lumière », sous-rubrique « Les lustres de l’Athénée ».

.UNE TROISIÈME FENÊTRE.
Pourquoi une troisième fenêtre ? Parce que jamais deux sans trois ? Non, il y a certainement une raison plus littéraire, mais vous ne pourrez pas le savoir tant que vous n’aurez pas lu le roman de Sophie Saulnier dans son entier. En attendant, nous vous invitons à en lire un troisième extrait. Rubrique « Sur la lumière », sous-rubrique « Fenêtre empêchée ».

Nota Bene. Si vous êtes trop paresseux pour aller de rubriques en rubriques en sous-rubriques ; si vous avez la mémoire trop courte pour faire le tri entre ce que vous avez déjà lu mais dont vous ne vous souvenez pas vraiment et ce qui est nouveau et que vous ne pouvez pas avoir déjà lu, vous pourrez lire toutes ces nouvelles publications sur la page d’accueil du site.

Lisez le Lampadaire et faites-le lire autour de vous.
NEWS LETTER 8
février 2014

6 ÉCRIVAINS ET LA LUMIÈRE OU LA FONDATION D'UNE LÉGENDE

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a huit mois d’existence. Vous lisez sa huitième newsletter.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


Février est un mois spécial, tout le monde le sait. Il va plus vite que les autres, ça plaît ou ça ne plaît pas. Mais qu’y faire ? Le Lampadaire, qui sait s’adapter aux lois du monde (il faut bien vivre), en a profité pour faire un numéro spécial; très spécial. Légendaire.
Qu’est-ce qui relie 6 écrivains contemporains (Pierre Bayard, Emmanuel Carrère, Philippe Djian, Olivier Rolin, Pascal Torres, Jean-Philippe Toussaint) prétendument assemblés par le hasard d’une rencontre au Louvre un après-midi de 2012 ? Seul le Lampadaire le sait et ose le révéler.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

MISE EN PLACE DU DISPOSITIF
Tout le projet vous est expliqué dans l’ordre de son déroulement:
.Le point de départ : la photo de Jean-Philippe Toussaint intitulée « La rencontre de quelques amis écrivains qui passaient ce jour-là par hasard à qui j’ai demandé de poser avec moi à l’improviste devant un autoportrait de Delacroix »
.Les étapes du projet :
. .la lettre adressée à Jean-Philippe Toussaint,
. .la lettre adressée aux 6 auteurs posant sur la photo,
. .le récit des métamorphoses du projet en fonction des réponses des uns et des autres.
Rubrique « 6 écrivains et la lumière », sous-rubrique « Mise en place du dispositif ».

DEUX MODÈLES OPPOSÉS DE LUSTRES, Toussaint et Djian
Si vous êtes de fidèles lecteurs du Lampadaire, vous reconnaîtrez les extraits de Faire l’amour de Toussaint, mais vous serez sans doute surpris de découvrir que Djian, lui aussi, utilise le lustre dans son roman Sainte-Bob. Que nous apprend cette mise en regard de deux lustres que tout semble opposer ?
Rubrique « 6 écrivains et la lumière », sous-rubrique « Deux modèles opposés de lustres ».

DU LUSTRE AU MONDE ENTIER, Rolin
La lumière retenue dans un lustre condense le monde, cherche à le maîtriser, à le mettre sous sa coupe, sous sa coupelle, à le faire bimbloter, à le cristalliser ou à l’aiguiser. Dans tous les cas, il en montre l’extrême fragilité. Mais que se passe-t-il quand la lumière inonde le monde ? N’aurait-on plus besoin de lustres ? Vous le saurez en lisant les extraits de L’invention du monde que nous a confiés Olivier Rolin.
Rubrique « 6 écrivains et la lumière », sous-rubrique « Du lustre au monde entier ».

LA LUMIÈRE COMME SYMPTÔME (ANALYSEUR) LITTÉRAIRE, Carrère, Bayard, Djian, Toussaint
Et que se passe-t-il quand les auteurs sont avares de lumière ? Est-ce parce qu’ils l’oublient ou parce qu’ils lui donnent un autre sens ?
Pas de lustre dans le Limonov de Carrère. Pas plus dans l’essai de Bayard, Et si les œuvres changeaient d’auteur ? Et alors ?
Rubrique « 6 écrivains et la lumière », sous-rubrique « La lumière comme symptôme (analyseur) littéraire ».

7 (6) ÉCRIVAINS DANS LA FORÊT DANTESQUE
Vous les verrez, les écrivains, dans la forêt. C’est l’exposition de Torres à la galerie Sator. Exposition intitulée « Nox erat – 7 et la lumière », et vous osez encore parler de hasard ? Comment résister à la tentation de mettre en relation cette exposition avec la photo des sept écrivains et avec le Lampadaire ?
Rubrique « 6 écrivains et la lumière », sous-rubrique « 7 (6) écrivains dans la forêt dantesque ».

DANTE ET TORRES
Relire Dante en y cherchant des néons ? Un anachronisme qui ne nous rebute pas ! C’est de la faute de Torres qui met des néons sur cette gravure de Bacio Baldini qui représente Dante dans la forêt.
Rubrique « 6 écrivains et la lumière », sous-rubrique « Dante et Torres ».

LES CERVEAUX LUMINEUX
Bizarrement, Toussaint a enfermé Bayard dans une cabine, seul face à face avec les livres qu’il n’a pas lus. Une punition ou un peu de temps pour lire ? Une lumière, toute extérieure, devrait lui permettre de voir clair en son cerveau. Et Rolin qui subit le même sort… Et des ampoules étranges en forme de cervelle offertes à Toussaint et à Carrère.
Rubrique « 6 écrivains et la lumière », sous-rubrique « Les cerveaux lumineux».

Nota Bene. Si vous êtes trop paresseux pour aller de rubriques en rubriques en sous-rubriques ; si vous avez la mémoire trop courte pour faire le tri entre ce que vous avez déjà lu mais dont vous ne vous souvenez pas vraiment et ce qui est nouveau et que vous ne pouvez pas avoir déjà lu, vous pourrez lire toutes ces nouvelles publications sur la page d’accueil du site. |retourligne|

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NEWS LETTER 7
janvier 2014
EN JANVIER LE LAMPADAIRE SAIT ÊTRE BREF

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a sept mois d’existence. Vous lisez sa septième newsletter.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


En janvier il faut savoir être bref, éviter la cérémonie des vœux et des platitudes, passer en douce, inaperçu. Ou trouver d’autres manières de faire, parce que les attentions c’est tout de même agréable.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. VOYAGE À LA MER, UN HOMMAGE AU LAMPADAIRE.
Michel Lansade, écrivain fidèle entre les fidèles, quitte l’errance et se donne une destination. Il agrémente son chemin de références au Lampadaire, de calembours et de blagues à deussous. À vous de les repérer, vous testerez ainsi vos connaissances lampaderesques. Envoyez-nous vos réponses. Qui sait, vous gagnerez peut-être quelque chose !
Rubrique « Sur le lampadaire » ; attention, pour avoir accès au texte dans sa totalité, il faut lire les trois sous-rubriques « Hommage 1 », « Hommage 2 », «Hommage 3 ». Collection des Curiosités.


. LE HUITIÈME ÉPISODE DU FEUILLETON D’HUBERT LAMBERT.
Hubert Lambert a profité des congés que nous lui avions accordés pour faire des comptes. Rien n’y fait, un obsessionnel reste un obsessionnel même pendant ses vacances, vous vous en apercevrez en lisant son huitième épisode.
Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Épisode 8 ». Collection des Nouveautés.
N’oubliez pas de lui écrire, cela pourrait l’aider dans ses calculs.


. LE TOUT DÉBUT DU LOUIS LAMBERT DE BALZAC.
Le mois dernier, nous avions offert un texte de Chamisso à nos deux auteurs de l’errance, cette fois-ci c’est le tour de notre employé, Hubert. Nous lui offrons un frère, le Louis Lambert de Balzac.
Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Cadeaux d'Hubert ». Collection des Nouveautés.


. LES APPELS À TEXTES.
Et les larmes ? Vous ne voulez pas pleurer ? Vous résistez ? Quel dommage.
N’oubliez pas que vous pouvez nous proposer vos propres thématiques.
Rubrique « Écritures parallèles », sous-rubrique «Appel à textes ».
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact ».



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NEWS LETTER 6
décembre 2013
LE LAMPADAIRE SE LIT AUSSI SOUS LE SAPIN

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a six mois d’existence. Vous lisez sa sixième newsletter.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


En décembre, on boucle, c’est l’urgence et la précipitation. On est en retard pour les cadeaux, en retard pour le sapin, en retard pour le menu et en retard pour la publication du mois. Mais on aura tout : les cadeaux, le sapin, le menu et la publication du mois. A vous de nous réserver un peu de votre temps. Du temps pour suivre l’errance de Michel Lansade, du temps pour lire une nouvelle inédite d’Anne Cauquelin, du temps pour relire Chamisso et le toujours-là Hubert Lambert.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

.JERRY DANS L’ILE, UNE NOUVELLE INÉDITE D’ANNE CAUQUELIN.
Les rangements de fin d’année sont source de surprises. Anne Cauquelin rangeant ses malles à papiers, triant, jetant, gardant, a retrouvé un court récit qu’elle a écrit il y a un de cela un temps indéterminé. Une histoire de pirates certainement, mais quels pirates ? Ou bien un conte pour enfants qui ne se préoccupent ni du début ni de la fin d’une histoire du moment qu’elle leur donne à rêver. Disons une histoire de pirates alors. Une histoire sans queue ni tête. Bizarre pour un chien. Attention, personne n’a dit que le chien s’appelait Jerry.
Rubrique « Écritures parallèles », sous-rubriques « L’île mystérieuse d’Anne Cauquelin». Collection des Curiosités.

. LE SEPTIÈME ÉPISODE DU FEUILLETON D’HUBERT LAMBERT.
Un lecteur qui a des difficultés avec ses lecteurs, c’est tout le paradoxe dans lequel se débat Hubert Lambert en ce malheureux mois de décembre. Mais tous les mois sont malheureux pour Hubert. Il est temps qu’il prenne des vacances. Nous envisageons de lui donner quelques jours de congé ; le connaissant, ce n’est pas sans risques.
Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique «Épisode 7 ». Collection des Nouveautés.
Faut-il encore lui écrire ? À vous de voir.


. LES TROISIÈME ET QUATRIÈME CHAPITRES DE L’ERRANT.
Michel Lansade veut-il en finir avec l’errance ? Peut-être pas, mais avec cet errant-là, oui. Il nous livre d’un coup ses deux derniers chapitres.
Rubrique « Écritures parallèles», sous-rubrique « De l’errant ». Collection des Nouveautés.

. L’HOMME QUI A VENDU SON OMBRE.
En cadeau pour nos écrivains de l’errance, Françoise Gérard et Michel Lansade, et, pour vous, comme une invitation à les rejoindre, voici les trois derniers chapitres de La Merveilleuse histoire de Peter Schlemihl de Chamisso, à lire en français et en allemand. Rubrique « Écritures parallèles», sous-rubrique « L’homme qui a vendu son ombre ». Collection des Curiosités.

. LES APPELS À TEXTES.
Pourquoi ne pas commencer l’année par des larmes. « Si j’étais vous, j’écrirais sur les larmes, lui dit-il. - Mais quelles larmes ? - Celles que vous voudrez, mais des larmes. »
N’oubliez pas que vous pouvez nous proposer vos propres thématiques.
Rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique « Appel à textes ».
Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact ».

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NEWS LETTER 5
novembre 2013
FAITES-EN BON USAGE

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a cinq mois d’existence. Vous lisez sa cinquième newsletter.

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Novembre est pour nous lumineux. Jean-Philippe Toussaint, que nous remercions ici, nous livre généreusement images et citations pour la thématique de la lumière, en nous recommandant d’en faire « bon usage ». Nous accueillons un nouvel auteur Françoise Gérard qui a accepté de recomposer certains de ses textes pour en faire des paysages de l’errance. Elle glisse ainsi ses pas dans ceux de Michel Lansade : ils sont maintenant deux à errer.

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. LES LUSTRES DE JEAN-PHILIPPE TOUSSAINT
Quoi de mieux pour accompagner un lampadaire que des lustres, surtout quand ils sont offerts par Jean-Philippe Toussaint ? Nous vous présentons un ensemble de trois versions de deux passages de Faire l’amour, une photo et un extrait du film Faire l'amour, une lecture japonaise, lu par l’écrivain. Le tout est à lire, regarder, écouter à la rubrique « Sur la lumière », sous-rubrique «Les lustres de Jean-Philippe Toussaint ».

. LE SIXIÈME ÉPISODE DU FEUILLETON D’HUBERT LAMBERT
Du Tokyo de Jean Philippe Toussaint au Bécon-les-Bruyères d’Hubert Lambert, y aurait-il un gouffre, une béance, deux mondes opposés, un ridicule terrible pour le second des deux ? Notre pauvre Hubert ne se remet pas du séisme qu’il prétend avoir vécu, et il se perd entre le passé et le présent ; à ne vouloir ni l’un ni l’autre, il se complique bien la vie.
Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Épisode 6 ». Collection des Nouveautés.
N.B. Du réconfort pour Hubert ? Ah, si Jean-Philippe lui écrivait.

. LE DEUXIÈME CHAPITRE DE L’ERRANT
Michel Lansade est un homme de parole, vous pouvez lire le second chapitre De l’Errant. Le troisième est pour le mois de décembre. À suivre, toujours.
Rubrique « Ecritures parallèles», sous-rubrique « De l’errant ». Collection des Nouveautés.

. LES QUATRE CHAPITRES DES PAYSAGES DE L’ERRANCE
Quatre chapitres, comme il se doit, composés d’un ou deux textes chacun, forment comme les pavés disjoints d’une route où errer. Avec Françoise Gérard vous marchez dans des « espaces incertains, ni campagne ni villes », espace des sentiments, espace des autres, espace de soi. À lire dans la rubrique « Ecritures parallèles», sous-rubrique « Paysages de l’errance ». Collection des Nouveautés.

. LES APPELS À TEXTES
Pas de nouvel appel à textes ce mois-ci. Trois thématiques sur les cinq proposées ont été des moteurs d’écriture, c’est bien. Mais nous voulons plus, et nous voulons la diversité, la vision kaléidoscopique. Tournez autour d’un thème, voyez-le à votre manière et n’hésitez pas à nous envoyer vos textes. N’oubliez pas que vous pouvez nous proposer vos propres thématiques. Pour savoir comment nous joindre allez à la rubrique « Contact »
Vous trouverez les appels à textes à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique « Appel à textes ». Collection des Nouveautés.

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NEWSLETTER 4
ocotbre 2013
ENTRE RÉALITÉ ET VIRTUALITÉ LE LAMPADAIRE AVANCE

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a quatre mois d’existence. Vous lisez sa quatrième newsletter.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


Le mois d’octobre, réputé vide et silencieux, nous est propice. Nous accueillons un nouvel auteur Michel Lansade, qui glisse ses pas dans ceux de l’errant tout en nous en promettant d’autres, des errances. Sandrine Maurial, docteur en arts, compare l’ancien et le nouveau, le pigment et le pixel. Qu’en dirait un autre de docteur, Faust ?

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. Le cinquième épisode du feuilleton d’Hubert Lambert
Hubert est en colère, dans une colère extraordinaire. Nous ne vous en dirons pas plus, le moindre de nos mots l’exaspère ; il faut avouer que nous sommes un peu responsables de l’état dans lequel il se trouve.
Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Episode 5». Collection des Nouveautés.
N.B. N’oubliez pas de lui écrire, il faudrait le ramener sur le chemin de la raison.

. Le premier chapitre de De l’errant
Bien que Michel Lansade soit attaché à sa ville de Nanterre et qu’il n’ait aucune envie de la quitter pour parcourir le monde, il s’est attaqué au thème de l’errance. Il nous a livré son premier chapitre, et nous a promis le second pour le mois de novembre. À suivre, donc.
Rubrique « Ecritures parallèles», sous-rubrique « L’errant ». Collection des Nouveautés.

. Le pigment et le pixel
Saviez-vous qu’il faut trois luminophores pour faire un pixel ? que lorsque vous regardez l’écran de votre ordinateur vous volez comme Icare ? Si vous ne le saviez pas, lisez le texte de Sandrine Maurial. Mais ne vous arrêtez pas là : interrogez-vous sur les assemblages de pixels disposés sur l’écran blanc du Lampadaire. Saurez-vous dire ce qu’est une littérature pixellisée ? Le Lampadaire est-il un ange porteur de lumière ?
Rubrique « Sur la lumière », sous-rubrique « L’alchimie lumineuse ». Collection des Nouveautés.
Encore une fois, nous avons mis ce texte en regard (ou en parallèle) avec un autre. Ce ne pouvait être qu’avec le Faust de Goethe : l’alchimie pour Faust, la couleur pour Goethe. Vous le trouverez à la suite du texte de Sandrine Maurial.

. Les appels à textes
Pas de nouvel appel à textes ce mois-ci. Trois thématiques sur les cinq proposées ont été des moteurs d’écriture, c’est bien. Mais nous voulons plus, et nous voulons la diversité, la vision kaléidoscopique. Tournez autour d’un thème, voyez-le à votre manière et n’hésitez pas à nous envoyer vos textes. N’oubliez pas que vous pouvez nous proposer vos propres thématiques. Pour savoir comment nous joindre, allez à la rubrique « Contact »
Vous trouverez les appels à textes à la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique « Appel à textes». Collection des Nouveautés.

Nota Bene. Si vous êtes trop paresseux pour aller de rubriques en rubriques en sous-rubriques ; si vous avez la mémoire trop courte pour faire le tri entre ce que vous avez déjà lu mais dont vous ne vous souvenez pas vraiment et ce qui est nouveau et que vous ne pouvez pas avoir déjà lu, vous pourrez lire toutes ces nouvelles publications sur la page d’accueil du site.

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NEWSLETTER 3
septembre 2013
LE LAMPADAIRE DEVIENDRAIT-IL INTERNATIONAL?

Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
Le Lampadaire a trois mois d’existence. Vous lisez sa troisième newsletter.
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En ce mois de septembre, nous récoltons les fruits du travail de l’été : nous accueillons de nouveaux lecteurs et de nouveaux auteurs. Les éditions Vagabonde nous ont proposé de publier un de leurs poètes, l’italien Michele Tortorici ; nous remercions ici le poète et l’éditeur. L’américano-portugaise, Maria Rantin, nous confie sa première nouvelle en réponse à l’appel à textes du mois d’août. Faites comme eux, n’hésitez pas à nous envoyer vos textes ou à nous suggérer de nouveaux thèmes d’écriture (voir la rubrique « Écritures parallèles »).

A l’adresse du Lampadaire vous trouverez :

. Le quatrième épisode du feuilleton d’Hubert Lambert
Hubert raisonne, ergote, pinaille. Bref, il se prend pour un penseur… l’aimerez-vous dans cet état ?
Rubrique « Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Episode 4 ». Collection des Nouveautés.
N.B. N’oubliez pas de lui écrire, il s’ennuie.

. Une histoire de puces
Pour Raphaele, l’héroïne de Maria Rantin, le retour de vacances ne se passe pas bien, mais pas bien du tout.
La nouvelle Puces de maison est accompagnée d’une photo de Lucie Pastureau (série à contre-ciel). Rubrique « Sur la lumière», sous-rubrique « Corner, arrêt et soleil ». Collection des Nouveautés.

. L’empire et la lune
Michele Tortorici, poète italien, a croisé la lune et l’Empire State Building. Vous pouvez lire le poème dans la langue originale, l’italien, ainsi que sa traduction en français par Danièle Robert.
Rubrique « Ecritures parallèles », sous-rubrique « Les empires de la lune». Collection des Nouveautés.
Il était trop tentant de mettre en regard (ou en parallèle) ce poème avec un extrait de L’Autre monde ou les États et Empires de la Lune, de Cyrano de Bergerac ; nous n’avons pas su résister. Vous le trouverez dans la rubrique «Écritures parallèles », sous-rubrique « Les empires de la lune». Collection des Curiosités.

. Un appel à textes
L’errance n’est certes pas un thème nouveau. Que le personnage qui l’incarne arpente le monde ou se perde dans sa chambre, la figure de « l’errant » hante la littérature depuis des siècles et des siècles. Et de siècle en siècle, il emprunte des formes différentes, errant à ses façons.
Comment diriez-vous l’errance, vous, aujourd’hui ?
Votre texte, intitulé « L’errant », devra comporter quatre chapitres.
Vous trouverez les appels à textes à la rubrique « Ecritures parallèles », sous-rubrique « Appel à textes». Collection des Nouveautés.

Nota Bene. Si vous êtes trop paresseux pour aller de rubriques en rubriques en sous-rubriques ; si vous avez la mémoire trop courte pour faire le tri entre ce que vous avez déjà lu mais dont vous ne vous souvenez pas vraiment et ce qui est nouveau et que vous ne pouvez pas avoir déjà lu, vous pourrez lire toutes ces nouvelles publications sur la page d’accueil du site.

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NEWSLETTER 2
août 2013
Le test




















































Les questions























































Les résultats


















































































































La lettre
TEST de l'été
Quel lecteur êtes-vous?
Voici 8 photos extraites de la série Les Lecteurs du collectif Faux amis. Regardez-les, puis répondez aux questions du test. Pour savoir quel lecteur vous êtes, rendez-vous sur le site du Lampadaire le 12 août 2013.


















































1. VOUS LISEZ À LA LUMIERE...
A. du jour
B. du lampadaire
C. d'une lampe de poche

2. POUR VOUS SENTIR CONFORTABLE, VOUS PRÉFÉREZ...
A. être assis dans un fauteuil
B. allongé dans un bain
C. au lit

3. LIRE AIGUISE VOS ENVIES...
A. de voyage
B. de chocolat
C. de meurtre

4. QUAND VOUS LISEZ, VOUS VOUS SENTEZ...
A. sur un fil, entre deux mondes
B. absent au réel
C. un héros

5. LIRE, C'EST...
A. une opération intellectuelle
B. un travail de l'imagination
C. une chose intime

6. VOS RAPPORTS À L'AUTEUR SONT...
A. de confiance. Vous vous abandonnez à lui.
B. d'impatience. Vous attendez qu'il satisfasse votre infinie curiosité.
C. de méfiance. Vous détestez qu'on vous commande.

7. DANS LES RAPPORTS CONSCIENT-INCONSCIENT, VOUS PENSEZ QUE LIRE...
A. aiguise les pulsions
B. édente, rogne, châtre, tue le corps
C. équilibre

8. VOUS VOUS DÉFINIRIEZ COMME UN LECTEUR
A. pléthorique
B. inconstant
C. parcimonieux

Pour compter vos points:
1..... A 1pt B 2pts C 3pts
2..... A 1pt B 2pts C 3pts
3..... A 2pts B 1pt C 3pts
4..... A 2pts B 3pts C 1pt
5..... A 1pt B 2pts C 3pts
6..... A 3pts B 2pts C 1pt
7..... A 3pts B 1pt C 2pts
8..... A 3pts B 1pt C 2pts

Et n'oubliez pas le 12 août...



12 août

Comme promis, voici les résultats du test.

MOINS DE 10 POINTS

Le lecteur masqué. Vous lisez pour vous perdre.
Vous avez tendance à vous mentir un peu, non ? Vous tenez à rester guidé par votre raison et par vos principes vertueux. Vous voudriez bien vous abandonner à vos livres mais vous avez trop peur. Alors, pour mieux vous cacher, comme lecteur, vous vous affichez. Vous recherchez la lumière, les pièces que tout le monde traverse, les hauts fauteuils. Vous vous construisez une apparence de lecteur et dans cette construction, vous vous fondez sur des clichés. La lecture doit vous permettre de consolider cette image rassurante que vous vous projetez à vous-même de parfait intellectuel. Vous rêvez de la bibliothèque que tout le monde voudrait avoir et qu'on vous envierait, très haute, en bois sombre, remplie de livres « comme il faut » et munie d'une petite échelle qui permet d'accéder aux étages supérieurs.
Etes-vous fait pour Le Lampadaire ?

ENTRE 10 ET 16 POINTS

Le lecteur sous le masque. Vous vous cherchez en lisant.
Toujours en recherche, toujours sur un fil, entre la tentation de l'abandon et la douce perspective de la toute-puissance. Vous passez votre temps à courir après vous-même, à hésiter, à ouvrir et fermer des bouquins. A les finir sans les avoir lus. Car à force de farfouiller entre les lignes pour voir si, par hasard, vous ne vous y débusqueriez pas vous-même, ne seriez-vous pas en train de passer à côté de toutes vos lectures ? Accepter de se glisser dans l'univers d'un autre, ça vous dit quelque chose ? Qu'est-ce que vous en pensez, ce serait pas mal de faire des choix, non ? A votre âge...


PLUS DE 16 POINTS

Sans le masque. Vous lisez pour vous trouver, pour vous retrouver.
Pour vous, lire est un espace de liberté, de subversion, une terre sauvage. Vous avez tout compris à la littérature et rien ne saurait vous faire dévier de cette route sinueuse qui se perd dans un horizon de poussière. Vous vous réveillez en lisant. Tout ce que vous cachez, que vous tordez, que vous contraignez dans votre quotidien s'émancipe dans la fiction. Vous devenez enfin un être d'émotion et de chair. Car vous êtes une nature contrainte. Vous passez vos journées à mentir et à dissimuler votre véritable identité, vos pulsions, vos désirs, vos idées libertaires.
Le Lampadaire vous comprend mais, quand même, ça vous dirait pas d'essayer la vie ?



Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,

Le Lampadaire existe et travaille aussi l’été. Vous lisez sa seconde newsletter.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


NEWS LETTER 2 DU LAMPADAIRE, août 2013
Le mois d’août est un mois d’écrits et d’images. On écrit à ses amis, on tweete sur la plage, on fait des photos à tour de bras, avec toutes sortes d’appareils qui sont de moins en moins des appareils photos, et on mélange texte et image. C’est ce qu’a fait Le Lampadaire avec la participation du collectif Faux Amis qui lui a prêté quelques photos et que nous remercions ici.

A l'adresse du Lampadaire vous trouverez :

. Le test de l’été : quel lecteur êtes-vous ?
Vous pourrez le savoir en répondant aux 8 questions (multipliées par 3 choix pour chaque question) et en cherchant à vous reconnaître dans 8 photos de lecteurs. Attention, le résultat du test sera mis en ligne le 12 août. Vous trouverez le test dans la rubrique Newsletter du site. Hors collection. (Vous l'avez déjà lu n'est-ce pas?)

. L’inévitable, et nous disons bien inévitable, travail de vacances.
Nous vous proposons deux nouveaux thèmes d’écriture « Portraits en pleine lumière » et « Corner, arrêt et soleil » accompagnés chacun d’une photo qui peut vous servir de rampe de lancement. Un de nos nouveaux auteurs, Joseph Pasdeloup, s’est emparé du premier thème et a écrit un court récit La défense de Pasiphaé. Mais que cela ne vous empêche pas de nous envoyer vos contributions. Vous trouverez son texte dans la rubrique « Sur la lumière », sous-rubrique « Portraits en pleine lumière ». Collection des Nouveautés.
Vous trouverez les appels à textes à la rubrique « Ecritures parallèles », sous-rubrique « Appel à textes». Collection des Nouveautés.

. Le troisième épisode du non moins inévitable Hubert Lambert.
Hubert Lambert a failli nous quitter, c’est ce qu’il nous explique dans un épisode en deux parties. Rubrique« Le feuilleton d’Hubert Lambert », sous-rubrique « Episode 3 », collection des Nouveautés. N’oubliez pas de lui écrire.

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Les 8 photos de la série en cours Les Lecteurs. Collectif Faux amis.






















































































Les points



















Le lecteur masqué







































Le lecteur sous le masque































Le lecteur sans le masque
NEWSLETTER 1
juillet 2013
LE LAMPADAIRE S'ESSAYE À LA NEWSLETTER
Chers lecteurs et chères lectrices du Lampadaire,
maintenant que le Lampadaire existe, il prévoit de s'agrandir de mois en mois. Les nouvelles publications paraîtront mensuellement, à date plus ou moins fixe. Voici la première newsletter, celle du mois de juillet. Celle d'août est prévue en août, cela tombe bien. Et en plus ce sera une fournée d'été.
Nota Bene. Si vous n'aimez pas les newsletters, prévenez-nous par mail, nous ne vous en enverrons plus ; si vous avez des amis qui les aiment, communiquez-nous leur adresse.


A l’adresse du Lampadaire, vous trouverez :

. Si l’inspiration est orientale, c’est sans doute la faute de Diderot.
Les nouvelles phrases lampaderesques de ML. Rubrique « Sur le lampadaire», sous-rubrique « Poèmes et phrases lampaderesques », Collection des Nouveautés.

. «Ma fenêtre n’avait rien à trahir, ce n’était pas moi qui l’avait choisie. »
Le second extrait du premier roman à paraître aux Editions du Lampadaire, Un Roman moderne ou le manuscrit du massicot de Sophie Saulnier. Rubrique «Sur la lumière », sous-rubrique« Fenêtre empêchée», Collection des Nouveautés.

. Hubert Lambert a toujours des problèmes d’identité (nous lui avons permis de rédiger son annonce, voyez le résultat !). N’oubliez pas de lui écrire.
Le second épisode du Feuilleton d’Hubert Lambert signé par le même auteur, dans la rubrique du même nom, sous rubrique « Episode 2 », Collection des Nouveautés.

. Le lampadaire est solitaire, c’est sa fonction première ; mais il éclaire, il éclaire, c’est sa fonction dernière.
Suivez nous sur @twitlampadaire et tapez vos 140 signes littéraires, vous pouvez joindre des photos (de lampadaire, de lumière, d’éphémère). Vous trouverez nos premiers twitts dans la rubrique « Ecritures parallèles », sous rubrique « Les twitts du Lampadaire », hors Collection.

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